La plage, le bruit de la marée, les maisons avec la vue sur l'océan. Plutôt sympa, non ? On trouve des villas à moitié sur le sable, des maisons dans un état de délabrement avancé avec squatteurs ... Tout est possible à Brighton. L'important reste le fait que dés qu'on se lève le matin, on peut faire trempette dans l'océan, dire bonjour aux petits poissons ou prendre le bateau pour aller faire un tour plus loin. Pas beaucoup d'habitations, moins qu'en ville, mais ça reste assez imposant comme coin.

L'endroit le plus connu d'Adélaïde : le marché couvert ! Les meilleurs produits s'y regroupent, la plus grande qualité. Des bars s'y sont implantés car la clientèle est toujours au rendez-vous. Toujours bondé, le marché est ouvert presque 24h/24 et 7 jours sur 7, certains magasins fermant quand d'autres ouvrent, faisant le roulement pour toujours fournir aux habitants ce dont ils ont besoin. Chaque année, en plus, de grosses fêtes sont organisés, les devantures sont décorées pour Noël, Paques, etc. Un endroit où il fait bon d'aller, si on est pas agoraphobe.

Chaque ville à son quartier des affaires. C'est dans ces immeubles que les hommes et femmes viennent travailler, s'enfermer dans des bureaux, défier la concurrence, faire exploser les salaires. Que ce soit un journal, un bureau d'avocat, un restaurant chinois, une classe de peinture donnée par Picasso, les étages sont à louer et prêt à être utilisés. L'argent est dans l'air, la sueur du travail sent de partout, c'est trop fort pour être ignorer. Et vive les fonctionnaires.

Un grand centre commercial, lui-même divisé en deux centres plus petits. Un côté est réservé à la nourriture, entre restaurants, cafés, supermarché, et l'autre regroupe tout les magasins de vêtements, chaussures, jouets, électroniques. On trouve toujours sont bonheur, même si ça met trois heures pour faire le tour des lieux. Entre bas prix et chemises plus chères qu'une assurance, tout est possible, et les journées shopping sont toujours plus amusantes. Les nouvelles collections raviront toujours les acheteurs compulsifs.